Sur le fronton des mairies comme sur les monuments aux morts, de même que dans bon nombres de lieux et sur bon nombre de documents, la devise “Liberté, Egalité, Fraternité” nous est donnée à lire. Ces principes de bases qui font notre société d’aujourd’hui, héritée de celle d’hier et de ses combats, s”appliquent dans de nombreux domaines de différentes façons, même si la majeure partie du temps on a tendance à l’oublier. L’un des principes émanant de la volonté de respecter notre devise est la répartition. Nos impôts, lorsqu’on les paye en faisant la grimace, font partie de ce principe, puisque l’argent versé par toute la communauté pourra aider certains citoyens parmi elle. S’aider les uns les autres est donc une des bases de notre vie ensemble.
Des métiers d’un genre nouveau
Que l’on soit ou non adeptes de ces grands préceptes ou bien qu’on les ignore, personne ne peut nier le fait qu’en France comme dans beaucoup de pays occidentaux, la population a tendance à vieillir et à avoir besoin d’aide. En effet nous sommes des générations de plus en plus mouvantes géographiquement, du fait de notre vie professionnelle ou bien de notre curiosité. C’est la raison pour laquelle on vit parfois loin de ses parents et grands-parents. Il est donc plutôt rassurant de savoir qu’il existe des organismes qui peuvent nous rassurer, en envoyant quelqu’un aider nos aînés. Ainsi depuis plusieurs décennies, les services à la personne se sont énormément développés, donnant naissance à de nouveaux métiers.
Le social a le vent en poupe
Ainsi lorsque l’on parle de carrière dans le domaine sanitaire et social, tout le monde connaît soit un acteur professionnel du domaine, soit une personne qui bénéficie de ce type de services. Cette tendance, si elle donne naissance à l’innovation robotique dans d’autres pays comme le Japon, offre chez nous la possibilité à des jeunes de se former à aider des personnes à domicile. Ces nouveaux métiers trouvent un échos volontaire chez ceux qui font pas ou peu d’études après le bac, comme chez d’autres qui étaient employées dans des filières qui non seulement n’embauchent plus, mais licencient massivement, ces personnes pouvant bénéficier du CPF. Ainsi un certain équilibre est en train de renaître, en France, et la fraternité n’est pas qu’un vain mot.