Pour des raisons financières ou encore dans le but de devenir son propre patron, de plus en plus de jeunes diplômés se lancent dans l’entrepreneuriat. Cette branche des affaires est régie par des lois et des textes très stricts dans leur application. Ainsi afin de mettre un peu de lumière au novice, voici quelques étapes à suivre pour la création d’entreprises.
Le rôle d’un avocat dans la création d’entreprises
Bien souvent, la majeure parte des personnes qui se lance dans l’entrepreneuriat ont déjà une idée toute faite de la démarche à suivre. Pourtant dans le milieu administratif et judiciaire, tout texte et loi à une interprétation différente selon le contexte et le point de vue. Ainsi afin de bien comprendre les divers enjeux d’une telle entreprise, le premier réflexe est de se munir d’un avocat spécialisé dans le domaine administratif.
Plus qu’un luxe, un avocat peut avoir plusieurs fonctions et rôles dans une création d’entreprises. Premièrement, le rôle d’un avocat est de conseiller son client. Dans cette situation, son rôle de conseiller influe sur le choix du statut juridique du futur entrepris, mais également sur le statut de son dirigeant ainsi que le mode de fonctionnement général de ce dernier. Ensuite, l’avocat aide dans la rédaction des divers documents à valeur juridiques nécessaire à l’entreprise. Enfin, il valide et authentifie chaque acte et document administratif lors de la procédure. Il existe d’autres rôles que peut prendre un avocat, on vous invite à consulter cette page : trouver-un-avocat.fr.
Le statut juridique de l’entreprise, un paramètre qui définit tout le reste
Lors d’une création d’entreprises, le choix du statut juridique est primordial et influence toutes les procédures en aval à ce dernier. Pour leur entreprise, les futurs patrons ont le choix entre entreprises individuelles, EIRL, SARL et EURL, SAS et SASU, SA et SNC.
- Entreprise individuelle : c’est le statut idéal pour les miros entreprises, ou encore entreprise familiale son avantage réside dans le fait qu’il bénéficie d’une imposition souscrite directement sur le compte du propriétaire et chef d’entreprise. En revanche, en cas de défaillance, le propriétaire risque directement des amendes et les foudres de ses créanciers.
- SARL et EURL, SAS et SASU, SA et SNC : ses statuts d’entreprise sont idéals pour les sociétés ayant plusieurs associer. Leur différence réside dans l’organisation et le mécanisme de fonctionnement de la société.
- EIRL : ce statut combine l’entreprise individuelle et la société à responsabilité limitée. Sa différence avec une SI réside dans le pouvoir de son dirigeant qui l’implique moins.
Mettre sur place son projet
Une fois les formalités et exigences administratives mises en place, il est temps de mettre en place le projet. Un projet tel une création d’entreprises nécessite une connaissance du marché ainsi que sa potentielle évolution. Ensuite, la prochaine étape consiste à faire une évaluation de l’évolution de la future activité tous en prenant compte des échecs et débours que l’on peut rencontrer au moment du lancement. C’est durant cette période que la présence d’un avocat expert en droit des affaires est le plus recommandé. Ses conseils et son soutien permettent de s’y retrouver en cas de cout dure.